1953 — Les dictatures ont brûlé beaucoup de livres, mais dans cette dystopie, Ray Bradbury nous montre que la société de divertissement de masse les menace davantage encore…
Montag est pompier, mais désormais, les pompiers brûlent les livres, que tout le monde considère comme nocifs. Fahrenheit 451, c'est la température à laquelle le papier brûle.
La voisine de Montag, Clarisse McClellan, 17 ans, passe pour une originale. Elle aime se promener, imaginer la vie des gens…
Et pose une question simple : est-il heureux ?
Il n’était pas heureux. Ces mots [...] résumaient parfaitement la situation. Il portait son bonheur comme un masque.
Voyant sa femme Mildred perdre sa vie devant les murs-écrans, Montag lui raconte qu'un jour une femme a préféré brûler avec ses livres.
Il doit y avoir quelque chose dans les livres, que nous ne pouvons pas imaginer, pour amener une femme à rester dans une maison en flammes. On n'agit pas comme ça pour rien.
Beatty son capitaine de brigade, perçoit les doutes de Montag… et lui révèle le secret du système.
Il n'y a pas eu de décret, de censure au départ, non ! La technologie, l'exploitation de la masse, la pression des minorités, et le tour était joué. Dieu merci ! Aujourd'hui, grâce à eux, vous pouvez vivre constamment dans le bonheur.
Montag vole un livre, entre dans l'illégalité. Mais Clarisse a disparu et il est seul… Jusqu'au jour où un ancien professeur, M. Faber, va lui redonner un peu d'espoir…
Beamy talking to Guy Montag in Fahrenheit 451.
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