1913 — Le Grand Meaulnes relie deux siècles. Un pied dans le merveilleux, l’autre dans la réalité… Pour des générations de lecteurs, il symbolise la fin de l’enfance.
François Seurel, fils d’instituteur dans une bourgade de Sologne, est entraîné par le nouveau, Augustin Meaulnes, dans ses aventures…
Quelqu’un a éteint la lampe autour de laquelle nous étions une famille heureuse [...] Ce fut Augustin Meaulnes, que les autres appelèrent bientôt le grand Meaulnes.
Le merveilleux et le rêve trouvent leur apogée quand Meaulnes raconte s’être perdu dans un château, où il rencontré une jeune fille.
Il put imaginer longuement qu'il était dans sa propre maison, [...] et que cet être charmant [qui] jouait du piano était sa femme…
C’est alors le début d’une quête pour retrouver la jeune fille… Meaulnes et François rencontrent d’abord son frère, Frantz de Galais, lui-même à la recherche de sa fiancée Valentine.
Selon Frantz, Yvonne est à Paris. Mais de là-bas les lettres de Meaulnes ne disent qu’à demi-mot le secret qui menacera son bonheur avec Yvonne.
J’ai essayé de vivre là-bas, à Paris, quand j’ai vu [...] qu’il ne valait plus la peine de chercher le Domaine perdu… Mais un homme qui a fait une fois un bond dans le paradis, pourrait-il s’accommoder ensuite de la vie de tout le monde ?
L’auteur, Alain-Fournier, amoureux sans espoir d’Yvonne de Quiévrecourt, meurt sur le front en 1914, un an après la publication de son roman.
Le château magique du Grand Meaulnes.
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